Paysages - Lavis(galerie)
Après mon passage au dessin au trait, j'ai ressenti le besoin de tenter le lavis. Est-ce que cela accentue les courbes qui m'inspirent tant dans mes paysages?
(cliquer sur les dessins pour les agrandir)
Lignes d'horizons, corps du monde
Chaque œuvre de Marie Chapelet ouvre un espace de lenteur où le visible retrouve sa respiration.
La ligne d’horizon devient passage : elle relie la distance et la présence, le monde et le corps.
Le trait agit comme souffle, il inscrit le regard dans une continuité d’être.
Les formes s’équilibrent dans une même clarté, un même silence.
La forêt d’Othe, matrice et ancrage, offre à ce travail la densité du réel et la patience du vivant.
Dans ces correspondances entre corps, paysage et lumière, se révèle une pensée de la présence : habiter la lumière, préserver la lenteur, célébrer l’unité du visible.
La ligne d’horizon devient passage : elle relie la distance et la présence, le monde et le corps.
Le trait agit comme souffle, il inscrit le regard dans une continuité d’être.
Les formes s’équilibrent dans une même clarté, un même silence.
La forêt d’Othe, matrice et ancrage, offre à ce travail la densité du réel et la patience du vivant.
Dans ces correspondances entre corps, paysage et lumière, se révèle une pensée de la présence : habiter la lumière, préserver la lenteur, célébrer l’unité du visible.
Xavier Bernard